Soren Larsen
Soren Larsen
Une Panenka dans la nuit
C’est l’Abbé Deschamps qui sourit
Son but du soir tombe dans l’oubli
Sa carrière est quasi finie
Une dépêche qui rugit
Un ptit dédain, des beaufs qui crient
Et par-dessus la nostalgie
D’années 80 plus fleuries
Dans la torpeur
De la nuit
Le voilà donc bien puni
Aucune équipe ne le cautionne
Le banc de touche il affectionne
Ses statistiques restent atones
Soren Larsen n’est plus personne
Lorsque Johan nous abandonne
On voit dans le nord la soluzione
Mais seule sa taille impressionne
Soren Larsen n’est plus personne
Soren Larsen
Soren Larsen
Comme un hacker, il cache sa joie
Pour un virement en fin de mois
Sur son compte, il est prêt à jouer
90 minutes dans l’année
Quand vers la touche il apparaît
Les spectateurs s’mettent à s’gausser
Ils savent qu’il n’aura jamais
La moindre occasion de marquer
Dans la torpeur
De la nuit
Le voilà donc bien puni
Aucune équipe ne le cautionne
Le banc de touche il affectionne
Ses statistiques restent atones
Soren Larsen n’est plus personne
Et quand il marque en selezione
C’est contre Malte qu’il cartonne
Depuis qu’il a signé au Capitole
Soren Larsen n’est plus personne